Viparis propose une « vue sur ciel » avec le lancement de LA SERRE

Viparis propose une « vue sur ciel » avec le lancement de LA SERRE

Paris Expo, le parc des expositions de la porte de Versailles, et appartenant à Viparis, connait depuis plusieurs années une modernisation à marche rapide. Parmi les enjeux, et au-delà des objectifs d’optimisation des espaces d’expositions vers une plus grande polyvalence, le parc soigne son intégration urbaine et notamment sa contribution au « verdissement » de la capitale. C’est cette double quête, cherchant à proposer des espaces événementiels au sens le plus large du terme, et visant l’intégration d’espaces naturels, qui a conduit Viparis à créer un espace tel que LA SERRE sur le toit du pavillon 6. L’inauguration de LA SERRE a eu lieu le 31 aout 2021.

Clin d’œil à l’actualité, cette inauguration fait suite aux différents confinement imposées par la pandémie, période qui a mis en lumière le besoin vital de verdure des plus urbains d’entre nous.

LA SERRE, avec le ciel comme seule limite

Dominant l’ensemble du site, et avec une vue sur la pointe de la Tour Eiffel, LA SERRE offre 420 m2 de surface couverte dans une structure entièrement vitrée, incluant des puits de lumière végétalisés, ainsi qu’une terrasse attenante de 520 m2 ouverte sur la plus grande ferme urbaine maraîchère en toiture d’Europe exploitée sous le nom de NATURE URBAINE.

Cet espace permet d’organiser des événements de toutes tailles, du plus intimiste jusqu’à l’accueil de 1000 personnes en utilisant l’intérieur et l’extérieur. On peut aussi organiser un diner assis en intérieur pour 230 personnes, et pourquoi pas accueillir 350 personnes pour une plénière théâtre.

Les conventions d’entreprises ou d’organisations professionnelles trouvent ici un environnement stimulant, proche d’une nature inattendue sous la lumière du soleil ou bien les étoiles du ciel parisien. C’est ainsi l’endroit choisi par Prestalians pour réunir les prestataires de l’événementiel en cette fin d’été à l’occasion de THE DATE. Trois traiteurs : Le Perchoir, Grand Chemin et Fleur de Mets proposent leurs services sur site pour s’adapter à tous les gouts.

NATURE URBAINE, refuge de biodiversité entre ciel, terre et périphérique

L’espace voisin, NATURE URBAINE est né de la volonté de Viparis en 2015 d’aménager une ferme urbaine de 14 000 m² sur le toit du futur pavillon 6. Projet devenu réalité et qui entame sa deuxième saison en cette rentrée 2021. Déjà capable d’accueillir la « plus grande ferme de France » à chaque début de printemps à l’occasion du Salon de l’Agriculture, il paraissait naturel que le parc de la porte de Versailles héberge à son tour un rooftop maraicher comme NATURE URBAINE, refuge de biodiversité entre ciel et terre. Un défi et un acte de résistance à la fatalité urbaine à deux pas du boulevard périphérique.

Un an après son lancement en pleine crise sanitaire, NATURE URBAINE sous la direction de Sophie Hardy, professionnelle chevronnée des salons, propose une offre de services sur-mesure à destination des particuliers, des entreprises et des collectivités, qui se décline autour de quatre axes :

  • Le maraîchage : production de fruits et légumes de saison de qualité, sans pesticide, distribution en circuit court. Ce sont aujourd’hui des aubergines, basilic, batavias, blettes, mini-carottes, chou Kale, ciboulette, tomate ancienne, concombre, cresson, épinard, mélisse, mini-navet, persil, radis ronds, sauge, tétragone, tomate cerise… qui poussent sur le toit du Pavillon 6 en attendant l’arrivée prochaine de micropousses, haricots verts et framboises ;
  • L’événementiel : privatisation d’espaces atypiques pour séminaires et team building ;
  • La pédagogie : organisation de visites et ateliers de découverte à partir des vacances scolaires de printemps; locations de carrés de culture pour les habitants du quartier ;
  • Le marketing partenaires : vente d’ilots de cultures associées à des actions de visibilité.

Ces deux espaces, LA SERRE et NATURE URBAINE ne répondent pas seulement à une tendance, à une mode de « greenification », mais accèdent de manière plus profonde aux aspirations d’une population urbaine en quête de partage de leur espace quotidien avec la nature. Volonté accélérée par la pandémie dont la sortie semble s’amorcer, et qui a eu a minima le mérite de remettre quelques pendules biologiques à l’heure. Nul doute que ce pari trouvera ses publics très rapidement.

Vous aimez cet article ? Partagez et commentez !